Avec un nom pareil, nous avons eu envie d’aller consoler la pauvre princesse et sécher ses larmes. Et nous avons bien fait!
Une petite mise en jambe de deux heures nous amène aux pieds de la pauvre princesse. Cette année, elle a beaucoup pleuré et avec le froid de canard qu’il faisait et toute cette pluie, les larmes de la douce étaient toutes gelées.
La première longueur, d’habitude sèche, a pu être gravie par la glace, fine mais parfaite jusqu’au passage mixte qui se protège très bien avec des gros Friends.
La première longueur et son passage mixte
Ensuite, un joli petit cigare donne accès à deux longueurs en traversée dans une belle ambiance « montagne ». Nous passons sous la grosse épée de Mach 3 pour gagner la quatrième longueur qui nous mène à la dernière longueur. La plus difficile mais la plus belle.
La traversée et la dernière longueur de Mach 3
En face, au soleil, Narsil, la dernière voie ouverte par Nicolas Jaquet et Simon Chatelan, un must!
Un joli petit combat contre toutes ces épées qui entravent l’accès au coeur de notre triste princesse. Heureusement, une fois le passage nettoyé, Giuliano viens me rejoindre et nous réconfortons la belle princesse qui nous laisse redescendre sereinement parmi toutes ces glaces qui nous menacent!
La dernière longueur et l’impressionnante descente en rappel
Le lendemain, quelque peu fourbus, nous irons faire le joli voyage que nous propose « Reise ins Reich der Eiszwerge ».
Le royaume des nains se cache derrière le cigare de gauche
En effet après avoir consolé la princesse nous avons été obligé de rendre visite aux nains des glaces. Ils ne pleuraient pas et nous ont ouvert les portes de leur royaume. Cette année, les visiteurs étaient nombreux. Par contre seuls une petite poignée d’entre eux ont trouvé la clé de la dernière longueur…
La troisième longueur et la dernière.